In that perspective, reports Patrick Roger in Le Monde, one leader of DSK's fellow socialists calls Dominique Strausss-Kahn's downfall the equivalent of September 11.
For the Socialist deputies, it is as if the sky had fallen on their head. "This is our very own September 11" confides one of the group's leaders. All of the MPs are devastated.This follows a tradition in France and Europe — especially among commentators, intellectuals, and cartoonists — of trivializing 9-11 and making inappropriate references about the 911 attacks…
Pour les députés socialistes, c'est comme si le ciel leur était tombé sur la tête. « C'est notre 11 septembre [2001] à nous », confie un responsable du groupe. Tous sont totalement abattus.
And in this case, the false analogy leads one Le Monde reader to react:
Le 11 septembre 2001 : 3 000 morts ce jour-là, et innombrablement plus par la suite (Afghanistan, Irak...). L'affaire Strauss-Kahn : une victime certainement, et peut-être deux, car quelle que soit l'issue du procès, la carrière politique du directeur général du FMI semble singulièrement compromise. En tout état de cause, zéro mort. Le responsable du groupe socialiste à l'Assemblée nationale qui a cru bon d'affirmer que l'affaire Strauss-Kahn, " c'est notre 11-Septembre à nous ", manque du sens des mots, du sens de la mesure et du sens de la pudeur, tout simplement.Edouard Reichenbach
Antony (Hauts-de-Seine)
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