Jamais sans doute Nicolas Sarkozy ne s'était heurté si abruptement aux ambiguïtés de la "Françafrique"
reports
Philippe Bernard from
Omar Bongo's funeral in
Libreville,
Gabon, contradicting those NP detractors whose favorite mantra is that France and all that she represents is nothing if not beloved — nay, revered — all over the planet.
"La France, on n'en veut plus. Partez ! Laissez le Gabon tranquille !", hurlait une quarantaine de jeunes manifestants à son arrivée aux obsèques d'Omar Bongo, mardi 16 juin.
L'accueil houleux réservé au chef de l'Etat français semble avoir reçu la bénédiction des autorités gabonaises : l'incident a eu lieu dans l'enceinte filtrée du palais présidentiel et en présence de nombreux représentants des forces de l'ordre.
Two readers of
Le Monde write:
un dictateur de moins que la patrie des droits de l'homme, la France, soutenait, engraissait depuis tant d'années. Sans compter que les parons des grandes multinationales vont être très tristes de ce décès, mais faisons leur confiance, elles ont du trouver son remplaçant à la tête du Gabon afin de continuer les petits arrangements entre amis !!!!
Un de moins! Encore un d'ailleurs qui a seulement tenu si longtemps parce que la France l'a soutenu. Et après il y en a qui diront que "l'Afrique n'est pas assez rentré dans l'histoire". Bien entendu, on fait comme si les interventions postcoloniales et les marchés biaisés n'existaient pas. Elle est belle la France-Afrique et tous ceux qui s'offusquent qu'on reproche quoi que ce soit à la France. Mais bien sûr, la France a payé toutes ses dettes et l'Afrique est abondamment traité à l'école ...
No comments:
Post a Comment