It's the story of a Frenchman who can't be more French than he is nor have a more French name, writes Marion Van Renterghem of Oscar-winner Jean Dujardin in Le Monde. So French in his being and so little French in his acting, the opposite of the intellectual actor.
Si français dans son être et si peu français dans son jeu. Le contraire de l'acteur cérébral : intégralement physique, un charisme viril à la Clark Gable, une voix vaguement nasillarde de doubleur de western, un corps qu'on dirait fabriqué pour occuper l'espace et prendre la lumière. Un french lover comme les Américains les aiment, avec le mauvais accent et l'élégance coquine.In the reactions, a Le Monde reader gives a link to one appropriate episode in the series of daily TV shorts, "A Dude, a Gal", that made Jean Dujardin (or John of the Garden, as another reader calls him) famous along with his future wife, Alexandra Lamy. (Other readers suggest that — sigh — Marion Van Renterghem's article is… racist!)
… Jean Dujardin, 40 ans en juin, est un enfant de la télé devenu adulte avec le Web. De cette génération d'acteurs propulsés à la célébrité sans filtre, par un simple "buzz". Ils ne s'empoignent pas sur la politique, ne sont pas hantés par la littérature ni par les films d'auteur comme les cinéphiles de la Nouvelle Vague. "Ils ont en commun une totale décontraction par rapport à l'érudition, au statut des uns et des autres, constate le producteur Alain Attal. Ils n'ont pas honte de citer des comédies "lourdotes" américaines. Chacun participe à tout sur un film, sans frontières entre les métiers."
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