Wednesday, December 14, 2011

Not only is Newt Gingrich divisive, he goes as far as "plunging the party into a deep state of division"


Newt Gingrich is electrifying America's Republicans, writes Corine Lesnes in Le Monde, before pulling out that age-old leftist expression, he is "divisive." Not only is he divisive, nor is he simply divisive, he goes as far as "plunging the party into a deep state of division."
Newt Gingrich s'est installé en tête de la course à l'investiture pour l'élection présidentielle de novembre 2012 aux Etats-Unis, plongeant le parti dans un profond état de division. Aucun des candidats en lice ne semble en mesure de "marier le soutien de la base et de celui de l'establishment", relève Nate Silver, l'auteur du blog électoral du New York Times.

… Un vent d'affolement s'est emparé de la classe politique républicaine, qui a commencé à faire rempart contre la candidature Gingrich. Les caciques ont l'oeil sur les sondages qui montrent que Mitt Romney est le républicain le plus menaçant pour Barack Obama.

"Personne à Washington ne pense que Gingrich peut gagner. Et Washington est l'endroit où on le connaît le mieux", a résumé Kathleen Parker, une éditorialiste républicaine, dans le Washington Post..

Then the woman who called Newt a real bad guy calls on… the New York Times' in-house RINO for testimony!

David Brooks, l'un des éditorialistes conservateurs du New York Times, généralement magnanime, lui a attribué tous les traits excessifs des années 1960 : "Narcissisme, autosatisfaction, intempérance." Comme le savent tous ceux qui ont travaillé avec lui, "il causerait un tort important au conservatisme et au Parti républicain s'il était désigné", écrit-il.
Narcissism, self-satisfaction, intemperance? Doesn't that sound like somebody by the name of… Barack Obama to you?

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