"Lors de la grande offensive de 2006, quand nous avons attaqué en nombre les forces canadiennes qui nous bombardaient, la population, spontanément, tuait ses moutons pour nous nourrir." Mais, fin 2007, les gens ont dénoncé la décision du chef taliban de la zone, Sadiq Agha, de pendre onze personnes en deux semaines pour espionnage. "Il n'y avait aucune enquête, des gens disaient qu'untel était un espion, pour de simples raisons tribales."
In
Afghanistan, a former Taliban fighter opens up to Le Monde's
Jacques Follorou.
"Intérieurement, j'ai commencé à prendre mes distances à partir des pendaisons, cela contredisait mes croyances. J'ai mis du temps à partir, maintenant c'est fait", poursuit-il. Si les talibans reviennent au pouvoir, il verra alors ce qu'il fera. "Peut-être qu'ils réussiront, ils n'ont pas la technologie, mais ils ont la détermination."
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