Le milliardaire philanthrope américano-hongrois George Soros en a fait une affaire personnelle. A 80 ans, le spéculateur n'a jamais digéré sa condamnation par la justice française, en 2002, pour délit d'initié dans l'affaire du "raid de la Société générale" de 1988. L'unique incident de parcours judiciaire de sa carrière.
Because he was pronounced guilty by the French justice system in 1988 —
the billionnaire's only judicial condemnation — George Soros never seems to have forgiven France, writes
Claire Gatinois in
Le Monde. Perhaps that helps explain why he is now fighting so strongly for the rights of the Roma in France, although his Roma Education Fund has exists for all Europe. The subject of the "raid de la Société générale" is never broached in
Le Monde's interview by
Sylvain Cypel.
Vingt-deux ans après les faits, M. Soros obtiendra-t-il réparation ? Ce n'est pas impossible. Après avoir épuisé les recours devant les juridictions françaises, le financier avait fait appel devant la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). Celle-ci a jugé, mercredi 15 septembre, sa requête "recevable". Cette décision ne préjuge en rien d'une éventuelle remise en question de la condamnation pénale de M. Soros, mais son avocat, Ron Soffer, se dit "confiant".
One Le Monde readers's reaction is to reply thus:
Le nouvel Obs et le Monde qui prennent la parole de M SOROS pour parole d’évangile ! On aura tout vu ou tout lu. Quand je pense ce gars la a ruiné des milliers de gens par ses spéculations, permettez moi de ne lui accorder aucun crédit ! Qu’il mettent ses milliards au service du peuple Rom serait plus intelligent que se positionner en donneur de leçons. A l’avenir, puissent les journalistes nous épargner de tels interviews !
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