C'est là qu'on voit que les temps ont changé. On n'est plus à l'ère de George W. Bush et des soupçons d'interventionnisme irréfléchi. De la part des Etats-Unis, les Européens ne craignent plus une attitude trop rigide mais trop conciliante. Les idées de M. Obama à propos d'un dialogue "sans conditions" avec Téhéran les inquiètent.In other words, what the always-more-lucid-than-thou Europeans always fear (Bush or no Bush) is… a clueless America. In one direction or the other.
…les trois Européens sont payés pour savoir que les Iraniens sont maîtres dans l'art de gagner du temps sans rien concéder. Mais rien n'indique que le président élu et son entourage n'en soient pas tout aussi conscients.
Friday, November 21, 2008
Regarding Iran, the Europeans No Longer Fear a Too Rigid America But a Too Conciliatory America
What is most surprising about the Europeans' initial interactions with Barack Obama, writes Daniel Vernet in Le Monde, is a warning not to get too cozy with the Iranian régime.
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