Just like with the Al-Dura affair's Charles Enderlin, however, a French media outlet does nothing about the scandal but present the reporter as nothing more than a poor innocent martyred victim and his critics as nothing less than shameless, treacherous, envious (!), and "extremely virulent". (In fact, here, too, Le Monde builds up readers' emotions, starting with a non-committal "envied job", going on to a more judgmental "not always kind criticism", and ending with a frankly castigating "attacks of an extreme virulence" as well as, later, "these signs of defiance against his profession" (italics mine!).)
Ce poste envié a aussi exposé son travail à une critique nourrie et pas toujours bienveillante. En 2006, pendant l'offensive israélienne au Liban sud, une série de photos prises à Tyr a fait l'objet d'attaques d'une virulence extrême. Pendant des mois, les blogueurs l'ont accusé de manipulations et de mises en scène visant à diaboliser l'armée israélienne. "Il y avait eu une erreur de légende, qui n'était pas de mon fait. Elle a été très vite corrigée, mais le mal était fait. Tout s'est emballé."
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