…en France, … l'enseignement de l'arabe, pourtant centenaire, est laissé à l'abandon par l'éducation nationale, au profit des mosquées qui ont capté la demande.French high school students are losing interest in learning the Arab language, leading Brigitte Perucca to write in Le Monde that Arabic has been chased away from the classrooms.
Que quelques lycées prestigieux de centre-ville regroupent des classes d'arabophones ne doit pas faire illusion. Reléguée dans les zones d'éducation prioritaire, la langue arabe ne parvient pas à quitter son ghetto.But there is some good news (?):"…si l'arabe est en crise au collège et au lycée, il est en plein boom dans les mosquées." Also, private schools have taken up the torch, says Stéphanie Le Bars in Le Monde.
…Le dernier rapport de l'éducation nationale consacré aux ELCO, publié en mars 2006, relève que les cours d'arabe "ne sont pas convaincants". Non qu'ils se soient transformés en cours de religion, comme les inspecteurs l'ont maintes fois entendu, mais à cause de leur piètre qualité : méthodes jugées d'un autre âge, absence de lien entre l'arabe dialectal et arabe standard, rappel constant au pays d'origine et à son régime politique...
La comparaison avec les autres langues "rares" joue en la défaveur de l'arabe. Le chinois, porté par un effet de mode qui ne faiblit pas, attire environ 15 000 élèves dans le secondaire, le portugais 12 000, le russe 14 000 et l'hébreu 7 000. Cet échec sonne, pour nombre d'arabisants, comme un symptôme du rejet des Maghrébins dans la société française. "L'enseignement de cette langue se porte aussi mal que les populations qui la parlent", résume Abdellatif Naguaoui, professeur d'arabe au lycée Alfred-Noble de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Traduire : l'arabe est aussi mal aimé que la communauté qui le parle.
…Le motif [du rejet], exprimé ouvertement ou non, étant toujours le même : proposer l'arabe, c'est prendre le risque de "stigmatiser" des collèges. D'où un double échec : cette langue ne trouve pas sa place dans les établissements en quête d'excellence et déserte les plus en difficulté.
…ces ouvertures d'établissements répondent au désir des parents d'offrir à leurs enfants un "environnement musulman" et un "meilleur encadrement". Outre le programme de l'éducation nationale, les élèves y suivent des cours de langue arabe et de une à trois heures d'éducation religieuse, selon les projets.This leads one reader to exclaim:
La plupart des établissements ont été lancés à l'initiative ou avec le soutien de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), en pointe sur ce dossier. Le projet de Toulouse fait, lui, directement référence à la loi de 2004. "Que faire, sinon, des filles qui désirent rester voilées ?", s'interroge son responsable, Abdelfattah Rahhaoui.
AU SECOURS !moi petite algérienne,la chance que j'ai eue en 1960, d'être sortie et tirée des griffes de la religion musulmane,par l'école française, bien des fillettes aujoud'hui ne l'auront plus. Elles seront voilées, subiront la discrimination et le sexisme de l'islam!! Tout cela sur le sol de la REPUBLIQUE FRANçAISE. Dans mon pire cauchemard, je ne pouvais l'imaginer . L'horreur absolue, pour toutes les femmes du monde musulman qui vaoyaient en la France et l'Europe un havre de sécurité.
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