Right before the presidential election, claims a Le Telegramme article by journalist Jean Guisnel, "secret notes and strategic plans" were filched by intruders who made their entrance to the Élysée Palace by contacting French government workers through FaceBook and asking to become their friends, subsequent to which they managed to get their hands on the workers' IDs and passwords.
In Washington, Homeland Security Department spokesman Matthew Chandler has "categorically denied" that the United States has "participated in a cyberattack on France … one of our closest allies", but the French government has not yet formally denied the news reports that appeared in the L'Express weekly.
Contrairement à l'administration américaine, le gouvernement français n'a pas formellement démenti les affirmations de L'Express, mercredi 21 novembre, sur un piratage américain des ordinateurs de l'Elysée. La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, s'est contentée de signaler qu'elle n'avait pas d'information précise, ajoutant : "Je ne crois pas que nous ayons de quelconques inquiétudes."
De source diplomatique, on indique que la France attend des explications du gouvernement américain. Dans son édition publiée mercredi, l'hebdomadaire affirme qu'en mai, quelques jours avant le second tour de l'élection présidentielle française, les réseaux informatiques de l'Elysée avaient été piratés, permettant à des intrus de récupérer "des notes secrètes et des plans stratégiques".
… A Washington, le directeur des communications du ministère de la sécurité intérieure, Matthew Chandler, a "catégoriquement démenti" que les Etats-Unis aient "participé a une cyberattaque contre la France". "La France est l'un de nos alliés les plus proches. Notre coopération dans le partage du renseignement, dans l'application de la loi et dans la cyberdéfense n'a jamais été plus étroite et elle demeure essentielle pour lutter efficacement conte la menace commune du terrorisme", a-t-il indiqué au Monde. Ce démenti concerne-t-il aussi l'agence de contre-espionnage cybernétique créée en 2009 par Barack Obama (USCybercom) qui dépend du Pentagone ? Absolument, a assuré le porte-parole.