"Georgia does not want to be the victim" of the Obama administration and its revision of U.S. policy towards Russia. That is the first sentence in
Piotr Smolar's Le Monde
article.
Après des années de relations étroites avec l'administration Bush, les autorités de Tbilissi ont assisté, inquiètes, aux tentatives de rapprochement entre Washington et Moscou initiées par Barack Obama sur certains dossiers clés comme le désarmement ou le programme nucléaire de l'Iran.
Foreign minister Grigol Vachadze, 20% of whose country is occupied by the Russians, has gone to Paris to bring about a closer relationship both with the EU and NATO, but also to voice his worries about France's sale of a Mistral-class warship to the Kremlin.
L'Estonie, membre de l'UE, a déjà fait part de ses interrogations. "Tout le monde est très inquiet dans la région, reconnaît le ministre. Il s'agit d'un navire de dernière génération pouvant accueillir, si je me rappelle bien, 16 hélicoptères d'assaut, 900 soldats, 16 véhicules blindés. Où irait un tel navire ? Pas dans la Baltique contre la Finlande, ni dans le Pacifique contre le Japon ou la Chine. Tout le monde sait que ce serait dans la mer Noire, contre l'Ukraine et la Géorgie."
Meanwhile
Le Monde's
readers (most of them, at least) are (as usual) going gaga over Russia…
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