Friday, November 04, 2011

Barely a Mention of Corzine's Affiliation in Long Le Monde Piece, Except That He "Claims" to Be a Democrat


A major article on Jon Corzine in Le Monde with nary a mention, by Sylvain Cypel and Marc Roche, that the head of MF Global was a Democrat and certainly none that he was a major donor to Barack Obama. The entire piece is meant to make one think that he is one of those traditional conservative fat cats whom the left (and Obama) has been heroically battling for so long and who turned out to be a political parvenu. A couple of lines of his mentor Robert Rubin working for Bill Clinton, not a single mention of Obama, and, following then — the clinger — the brief mention with wording that "Jon Corzine runs as a Democrat", i.e., that he "claims to be a Democrat"!

Update: Corzine's past ties to Obama is not mentioned in any of three Economist articles either…
Meurtri, l'homme se tourne alors vers l'une des carrières qui, aux Etats-Unis, nécessite le plus de moyens financiers : la politique. Par chance, il a accumulé, durant ses années Goldman et pour salaire de son retrait, une fortune estimée à 400 millions de dollars. De quoi se montrer persuasif auprès des instances de son parti — Jon Corzine s'affiche démocrate — et plus encore auprès des électeurs. En 2000, l'ex-patron de GS remporte l'un des deux sièges de sénateur du New Jersey. Il a dépensé 62 millions de dollars de sa fortune personnelle, ce qui en fait, à ce jour, la campagne la plus chère de l'histoire du Sénat. Le sénateur Corzine sera actif sur des projets de loi touchant aux aides aux étudiants et à l'extension de la couverture-santé et votera, en 2002, contre l'entrée en guerre des Etats-Unis en Irak. Mais l'activité de législateur n'est pas la tasse de thé de cet homme d'action. Avant même la fin de son mandat, il l'abandonne pour se lancer dans la course à la fonction de gouverneur du même Etat.

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