Poverty strikes one third of French families in which one parent is absent, writes Anne Chemin on the front page of Le Monde, thus giving ammunition to those who point out that the break-up of the family (in whatever country) is conducive to penury. …avec la séparation, les familles subissent une brutale chute de leur niveau de vie.
Cette fragilité se lit clairement dans les chiffres de l'Insee : en 2008, 30 % des personnes issues d'une famille monoparentale vivaient en dessous du seuil de pauvreté (un niveau de vie inférieur à 949 euros par mois), soit une proportion 2,3 plus forte que dans l'ensemble de la population. Le taux de pauvreté est beaucoup moins élevé pour les autres configurations familiales : il tombe à 20 % pour les couples avec trois enfants ou plus, 8,6 % pour les couples avec deux enfants et 7,8 % pour les couples avec un enfant.
In related news, a father has been arrested for smothering his 6-year-old daughter to death, because taking care of the handicapped child had become "too heavy a burden", and he is risking life behind bars.
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