Saturday, February 07, 2009

How Dare Anyone Imply Our (Anti-)Hero Was a Jealous Man?!

France's pacifists are in a rage; the character of one of their trademark snickering, holier-than-thou pacifists ™ has been dented in a book by a fellow singer, Pierre Perret (right).

The late Georges Brassens — called
le DIVIN MOUSTACHU by one typical fan — was a typical anarchist whose songs typically celebrated nihilism, anti-militarism, sleeping with other men's wives, etc, etc, etc… (A typical hero, needless to say, in today's French society…) He might have been nihilistic and a run-down chain-smoker — as well as someone snickering about hero worship (or traditional hero worship) while claiming to be laid-back and past all that sort of things — but how dare you say that Brassens (Brassens, for God's sake!) was jealous!?!

Aux yeux des aficionados du Sétois [Georges Brassens], il [Pierre Perret] a commis un crime de lèse-majesté. … Dès la parution d'A cappella, les "brassensophiles" se mobilisent. Fondateur de l'association Auprès de son arbre, basée dans le Lot-et-Garonne, Pierre Schuller monte au créneau. Auprès de son arbre entend défendre l'oeuvre de Brassens sur tous les fronts : festivals, livres, conférences et concerts, avec l'artiste maison, Jacques Nunoz. Autre épicentre du mécontentement, Les Amis de Georges, une revue bimestrielle, un site, dirigés par un exégète intelligent et passionné, Jean-Paul Sermonte.

Dans un éditorial du 25 novembre 2007, Sermonte s'inquiète de l'image de Brassens véhiculée par Pierre Perret : "Tous les témoignages concordent : il n'était pas dans la nature de Georges d'être jaloux. Sophie Duvernoy, sa gouvernante pendant près de quinze ans, a, elle aussi, été scandalisée par ce discours."

C'est sur le forum de discussion des Amis de Brassens que les choses s'enveniment.

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