Wednesday, June 11, 2008

As the Doctors Prepared Their Sharpened Instruments to Remove the Donor's Organs, Something… Twitched

…les chirurgiens pouvant pratiquer les prélèvements d'organes n'étaient pas immédiatement disponibles. Lorsqu'ils arrivent au bloc, leurs confrères pratiquent le massage cardiaque depuis une heure et trente minutes, sans résultat apparent. Mais au moment même où ils s'apprêtent à opérer, les médecins ont la très grande surprise de découvrir que leur patient présente des signes de respiration spontanée, une réactivité pupillaire et un début de réaction à la stimulation douloureuse.
Can you imagine what would would be the reaction should this type of scandal happen in the United States? (And rightly so.) A dead (sic) organ donor ready to have his vitals removed who starts twitching and moving! Isn't this the type of story Michael Moore would have used in his film Sicko?

But it happened to happen in a country with a health system that someone like Michael Moore — not to mention the French/European élites themselves — would present as an archetype model (or the closest thing to that) in contrast to the outrageous, heinous, and scandal-ridden national shame of the United States; and so, instead, Jean-Yves Nau begins his article by treating his Le Monde readers to an unimpassioned, passive, non-alarmist, philosophical debate.
C'est une affaire aux frontières de la vie et de la mort. Un dossier qui suscite émotion et réflexion chez les professionnels de la réanimation médicale et chez les responsables chargés de la bioéthique. Qui les oblige à se demander quels critères objectifs permettent de dire à partir de quand un malade sur lequel on pratique une réanimation peut être considéré comme un donneur d'organes. Sachant que ces organes, une fois greffés, permettront de prolonger l'espérance de vie d'autres malades.

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