¡No Pasarán!

What comes around, goes around

Retour de manivelle dans la tronche

As long as José Bové was tearing down McDonalds franchises, there were always corporate directors ready to play upscale-neighborhood-guerilla-combattant who thought that Bové was great. As long as ATTAC aimed to cripple business and put a damper on international finance with the Tobin tax, there were CEO's spawned by 1968 who heartily applauded. As long as the European extreme left was shitting on Israel and the United States while singing the praises of Hamas, Hezbollah, and the foreign fighters in Iraq, pantywaist ad-men got off in their PR firms. But now that this nihilistic crew has taken to attacking the European Union, the well-to-do pantywaists are not laughing nearly so much (Bové, ATTAC, and their henchmen are having much more success with this enterprise than with the previous ones. Proof that the EU edifice was never very solid to begin with.)

Tant que José Bové démontait les McDo, il y avait toujours des cadres d'entreprise qui s'agitaient en combattants-subversifs-des-beaux-quartiers pour trouver ça génial. Tant qu'ATTAC visait à bousiller le commerce et plomber les finances internationales à coup de Taxe Tobin, il y avait des soixante-huitards recyclés en PDG pour applaudir. Tant que l'extrême gôche zéropéenne chiait sur l'Israël et les Etats-unis tout en chantant les louanges de Hamas, de Hezbollah, et des insurgés en Irak, il y avait des pubards pédérastes qui éjaculaient dans leurs boîtes de com'. Mais maintenant que tout ce joli monde nihiliste se prend à la construction européenne, il y a des pédés nantis qui rigolent beaucoup moins (faut dire aussi qu'avec leur nouvelle cible, Bové, ATTAC, et consorts ont beaucoup plus de réussite que par le passé. Comme quoi, l'édifice de l'UE était déjà passablement affaibli).