Spéciale présidentielle américaine
Renoncement : Biden s'explique
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A Danish newspaper warns that If Kamala Harris is elected, she will be the most left-wing American president ever.
The daily Berlingske Tidende has a reputation of being a bourgeois newspaper leaning right, but that does not mean that they are pro-Trump by any means. Another article, by Poul Høi (who is also known to castigate Donald Trump), titles that JD Vance called Kamala Harris a "childless cat lady"; He shouldn't have done that (here is JD Vance's reply to the "scandal").
Back to Helena Bang-Udesen's front-page article (update: mange tak til Sarah Hoyt) on Kamala Harris:
Kamala Harris' presidential campaign flopped in 2019 because she failed to articulate a strong political position. Now she almost has the Democratic nomination, but is struggling to make her mark in the political center.
Kamala Harris has always had difficulty articulating her political position.
Her previous announcements have gone in different directions, and the political uncertainty became the downfall of her campaign when she went for the nomination as the Democratic presidential candidate in 2019. …
Émission extraordinaire au Soir Info Été de CNews pour discuter la déclaration inatt5endue et explosive, de Joe Biden de ne pas se représenter aux élections de 2024.
Le porte-parole des «Republicans in France» Philippe Karsenty était l’invité de «Soir info été», ce dimanche 21 juillet sur CNEWS. Il s'est exprimé au sujet du retrait de la candidature de Joe Biden, président américain sortant, qui renonce à sa réélection sur fond de dissensions au sein même de son parti : «Un président qui ne peut pas se représenter et qui a de la rancœur, c'est très dangereux», a--t-il expliqué.
Khalil Rajehi de l'AFP:
Le président américain sortant, Joe Biden, a annoncé ce dimanche le retrait de sa candidature à l’élection présidentielle de novembre prochain, soutenant par la même occasion celle de sa vice-présidente Kamala Harris.
Originaire d’Oakland, dans la baie de San Francisco, Kamala Harris naît dans la Californie des années 1960, de parents immigrés. Sa mère indienne, chercheuse spécialiste du cancer du sein, aujourd’hui décédée, et son père jamaïcain, professeur d'économie, la plongent très tôt dans la lutte pour les droits civiques dans laquelle ils sont vivement impliqués.
Le parcours de Kamala Harris est d’ailleurs une histoire de premières fois. En 2010, elle devient la première femme noire et de descendance asiatique à devenir procureure générale de l'Etat de Californie. Idem en 2016 lorsque, suivant la vague de femmes accédant au Congrès, elle est la première femme élue sénatrice de son état de l'ouest américain.
Quant à Donald Trump, selon CNews,
«L'escroc Joe Biden n’était pas apte à se présenter à la présidence, n’est certainement pas apte à servir, et ne l’a jamais été !», a-t-il lancé dès le début de sa déclaration.
… «Il n’a atteint le poste de président que grâce à des mensonges, de fausses infos (...). Tous ceux qui l'entouraient, y compris son médecin et les médias, savaient qu'il n'était pas capable d'être président, et il ne l'était pas», a ajouté l'ancien locataire de la Maison Blanche, récemment victime d'une tentative d'assassinat.
Dans son message, Donald Trump a également accusé Joe Biden d'être responsable des nombreux maux du pays.
«Regardez ce qu'il a fait, avec des millions de personnes qui traversent notre frontière, sans contrôle ni vérification, beaucoup provenant de prisons, d'établissements psychiatriques et un nombre record de terroristes», a poursuivi le candidat républicain sur son compte Truth Social, avant de conclure par sa phrasé favorite : «Make America Great Again.
Parmi les autres de invités Soir Info Été sur CNews, le journaliste Régis Le Sommier a déclaré que
«Kamala Harris n'est pas le Barack Obama féminin».
En ce qui concerne Jean-Baptiste Soufron, l'avocat a affirmé que
«Ce qui se passe chez les démocrates américains, c'est aussi un changement de génération».
From Modi'in, an Israeli woman castigates the New York Times for its coverage (or lack thereof) of the current conflict in Palestine:
I write this as I mark Israeli Independence Day in the changed landscape of my neighborhood.
Across the street: the home of a soldier killed in Gaza. Up the block: those of three more fallen soldiers. The park next to the grocery store: dedicated to the memory of another fallen soldier. Inside, an amputee carries yogurt with his elbow because his lower arm is gone. Around the corner: the home of a young man murdered at the Tribe of Nova music festival on Oct. 7.Nearby: the home of my former student who defended Kfar Aza kibbutz until Hamas terrorists shot him. He’s been in the I.C.U. for seven months. Past the park: the home of Noa Marciano, a soldier and hostage who was murdered in Al-Shifa Hospital. Overhead: the drone of warplanes.
We are still under attack from Hamas and Hezbollah. No one in Israel is out of the cross hairs. We’re not sleeping soundly at night. We won’t breathe deeply until the hostages and our soldiers come home.
I want to start a school for religious Muslim and Jewish girls. I plan to spend next year studying Arabic. I dream of a two-state solution.
I think your coverage of this war would look different if you took a walk in my neighborhood.
Sarah Greenberg
Modiin, Israel