Monday, March 30, 2015

Kalashnikov Generation: Europe's Gun-Free ZonesOught to Raise a Few Eyebrows

Just as we've gotten used to Frenchmen and Europeans castigating America for its gun culture and violence — to be contrasted with their own gun-free zones, their own intelligence, and their own peaceful ways — we learn, in Doreen Carvajal's New York Times story about a jewelry heist, that not only are firearms used fairly often on the old continent (albeit mostly by criminals), these weapons are often submachine guns — often enough that the weapon has given a book on a new generation of gangsters its title:
Frédéric Ploquin, the author of a new book about the evolution of organized crime in France, said that the robberies reflected a new wave of gangsters who have emerged since 2005 — a “Kalashnikov generation” with a zest for arms, no fear of death, and a taste for quick and easy profits, usually through drug trafficking.
Génération Kalachnikov (Les nouveaux gangsters):
Le milieu traditionnel n’est pas mort, mais les jeunes se bousculent au portillon pour prendre la relève. Ce livre, quatrième tome de la série « Parrains et caïds », est une immersion dans le banditisme français muri à l’ombre des cités. D’Aubervilliers à Nanterre, de Roubaix à Montpellier en passant par Lyon, Grenoble, Marseille et Nice, ceux qui ont repris la « boutique » sont plus nombreux que leurs prédécesseurs, mais surtout plus anonymes : à la différence de leurs aînés dont les noms s’affichaient dans les journaux, on les connaît peu. Un atout considérable, même si certains rêvent de reconnaissance médiatique. Que disent-ils d’eux-mêmes ? Qu’en pensent les policiers qui les traquent et les magistrats qui les poursuivent ? Comment les voyous d’hier les considèrent-ils ? Qui sont les têtes d’affiche ? Que font-ils de leurs millions ? Réponses dans ce livre étayé de très nombreux témoignages inédits. Le roman vrai d’une génération qui ne fait pas toujours la différence entre réalité et cinéma, surtout à l’heure de vider un chargeur.