Saturday, April 19, 2014

So that's why they want unisex restrooms!


So that's why the leftists want unisex restrooms!

Jessica Sidman (thanks to Instapundit):
Alan Popovsky, who owns Lincoln Restaurant and Teddy & The Bully Bar [in Washington DC] … has found that unisex single-occupancy restrooms—and handicap-accessible ones in particular—tend to be the most popular hookup spots. “If you go into a restroom and you can actually lock the door behind you, that’s just an open invitation,” he says.

Friday, April 18, 2014

90 Days of Madness: Dealing with a Haunting Tragedy from China's Cultural Revolution 40 Years Later


Brice Pedroletti has a story in Le Monde called the Repenters of Maoism. We learn that, 40 years after China's Cultural Revolution, former students — one of whom appeared in a famous picture with Chairman Mao (she is in the center of the modern picture, below) — have publicly repented the fact that, "during 90 days" of madness in 1966, they let their Beijing high school director be punched and kicked to death.

Nowhere is it mentioned, of course, that one solution for avoiding such tragedies is the equivalent of America's Second Amendment.
Cela fait dix ans que Liu Jin, Song Binbin, Luo Zhi et plusieurs de leurs camarades du lycée de filles de l’Université normale de Pékin s’efforcent de faire la lumière sur les quatre-vingts jours de 1966 où elles furent les protagonistes d’une tragédie qui allait engloutir la Chine tout entière. Ces sexagénaires, qui ont derrière elles des carrières et des vies de famille bien remplies, se sont engagées sur une voie encore très peu explorée en Chine, et à demi taboue : celle de la repentance pour les atrocités commises par les gardes rouges durant la Révolution culturelle (1966-1976).

Le 12 janvier, elles ont franchi le Rubicon en présentant publiquement leurs excuses à ceux de leurs professeurs de l’époque qui ont survécu, lors d’une réunion du lycée. « La plupart nous ont dit qu’ils attendaient ce geste et qu’on aurait dû le faire il y a longtemps ! », raconte ainsi Liu Jin, 67 ans. Cheveux gris coupés court, jean et pull-over bleu marine, cette éditrice retraitée avait été désignée chef officielle des élèves du lycée dans les premières semaines de la Révolution culturelle, en juin 1966.

MILLIONS DE MORTS

Ce nouveau mouvement lancé par Mao, d’abord encadré par des « groupes de travail » du parti formés de cadres adultes, semblait alors inoffensif. En réalité, Mao, écarté des affaires courantes, allait jouer de son statut de dieu vivant auprès de la jeunesse pour renverser la direction du parti à tous les échelons, dans une bataille insensée qui fera des millions de morts.

Pour comprendre, il faut remonter à une journée bien particulière, celle du 5 août 1966. Ce jour-là, c’est une scène digne d’un film d’horreur qui a lieu dans un lycée pékinois réservé à l’élite rouge. Les « groupes de travail » du parti viennent d’être dissous par Mao, furieux de les voir « éteindre le feu de la révolution ». Dans ce lycée, Liu Jin et son adjointe, Song Binbin, restent les seules représentantes d’une autorité au statut ambigu. Depuis la mi-juin, les professeurs et les cadres dirigeants débusqués comme « ennemis de classe » ont été soumis à des « séances de critiques ». Sur les conseils de Deng Xiaoping, à l’époque vice-premier ministre, à qui elles avaient rendu compte des avancées de la Révolution culturelle dans leur lycée, Liu Jin et Song Binbin ont renvoyé des professeurs aux antécédents « problématiques ». La chef du parti du lycée (l’échelon suprême de direction dans toute administration chinoise), une femme de 50 ans, Bian Zhongyun, elle, reste sous bonne garde car son dossier est accablant.
« SÉANCE DE CRITIQUES »

Ses crimes ? Elle n’a pas répondu à la question d’un élève voulant savoir, lors d’un exercice organisé au lycée, s’il fallait décrocher le portrait de Mao en cas de séisme. Puis elle a refusé de « repêcher » la fille du président chinois Liu Shaoqi, recalée de peu à l’examen d’entrée. Enfin, une femme a clamé, en juin 1966, lors d’une « séance de critiques », que son mari, professeur au lycée, la trompait avec Mme Bian (une accusation qui se révéla fausse). La femme réclamait en fait que la chef du lycée lui verse le salaire de son époux dont elle était divorcée, ce que Mme Bian a refusé. Tout cela finit de convaincre que Mme Bian est un « mauvais élément ».

Ce 5 août, les élèves la forcent à crier à tue-tête, en frappant une poubelle en fer comme si c’était un gong : « Je suis une tenante de la voie capitaliste ! Je suis une révisionniste contre-révolutionnaire ! Je mérite d’être battue ! » Ce sont les filles de première année, soucieuses de montrer leur ferveur révolutionnaire, qui ont organisé cette punition. Les coups pleuvent : fusils en bois, barreaux de chaise sur lesquels des clous dépassent. Coups de pied, aussi, car certaines lycéennes en treillis portent des bottes de l’armée.

A trois reprises, Liu Jin et Song Binbin interviennent. « La première fois, raconte Liu Jin, la foule se dispersa. » Mais dès que les jeunes cheftaines remontent dans leur bureau, d’autres recommencent à s’acharner contre Mme Bian. « Je craignais d’être critiquée en empêchant les violences. C’est vrai que c’est pour cela que je n’ai pas fait de mon mieux », a reconnu Song Binbin dans le discours qu’elle a prononcé le 12 janvier. « La vie humaine ne valait pas grand-chose. Mao était un dieu. Ses paroles étaient saintes. Tout le monde était prêt à se sacrifier », déplore Gao Ning, une autre ancienne élève du lycée, déjà à l’université à l’époque.
There is only one comment, far fewer than if the article had been on a subject involving that nightmarish society that is America's, such as (horrors!) Abu Ghraib or (imagine!) the lack of gun control. But it is worth reading. JP. Tournebroche writes:
On attend avec intérêt les réactions des anciens adorateurs de Mao et thuriféraires de la Grande Révolution Culturelle, notamment celles de M. Sollers et de ses anciens camarades de Tel Quel. On se souvient des flamboyants articles dans lesquels ce grand penseur nous instruisait de la différence entre "la pensée Mao Tsé Toung" et "la pensée de Mao Tsé Toung". On se rappelle aussi de quelle façon ces maolâtres furent descendus en flammes par Simon Leys lors d'un "Apostrophes" mémorable....

Monday, April 14, 2014

"You don't want to go there, buddy"; Many, many thanks to Eric Holder

Doesn't Eric Holder deserve our deepest gratitude?

As reported by Fox News, the attorney general told a congressman,
You don't want to go there, buddy.
Let's look at this first, briefly, in the specific venue it was said, and second, in a more general way.

1) "You don't want to go there." Can this be constructed as anything but either scorn or a veiled threat or both? Let's read the sentences that follow.
Holder went on to say that [Rep. Louie Gohmert (R-Texas)] "should not assume that that [the 2012 House vote finding Holder in contempt of Congress] is not a big deal to me."
"I think that it was inappropriate and it was unjust, but never think that was not a big deal to me. Don't ever think that," Holder said, pointing his finger.
Get this right, people; get this right, congressmen: How dare you — how dare anybody — ask any member of the Obama White House for justification (documents, emails, etc) for their decisions?!

Eric Holder is part of the team of brilliant reformers sent to radically transform America by telling ordinary men and women (as Ricardo Fernandez calls the latter, "the great unwashed [who] merely swill beer, drive pickup trucks and believe in superstitious nonsense like good and evil, right and wrong, God and the devil" — thanks to Instapundit) to stop thinking they know how to manage their own lives and telling them what to do (mainly, what to do with their money, as in hand it over to the government of reformers and to their ever-growing bureaucracies).

So, for one of those unwashed people — for what else are Republicans anyway, and besides, what business do those clods have being in DC in the first place?! (stupid constitution and thank God the IRS intervened to keep the Tea Partiers in their place, and us reformers in Washington) — to question their decisions and bring up such (non-)scandals as the Mexican gun-walking affair, the failure to go after (Democratic) voting fraud, and the IRS's Tea Party hunt, all of which is highly unfair not to mention highly insulting.

2) More generally, we should all thank Eric Holder for articulating the attitude that has come from the White House (and prior to that, from the Obama campaign) for the past five or six years — as well as from its brilliant reformers (as stated above), from the mainstream media (remember the Journolist?), and all the supporters of the left in the population:
You don't want to go there, buddy.
The Benghazi massacre? The Syria red line? The reset with Russia?
You don't want to go there, buddy.
The Obamacare vote? The (repeated) "misspeaking" of Obama's promises?
You don't want to go there, buddy.
Obama's past? The Reverend Wright's Church? Obama's rise through Chicago's machine politics? Obama's winning one election after another through at least partially dubious means, from the invalidating of the petitions of Democratic party opponents (1996) and the unsealing of divorce papers (2004) to the siccing of the IRS on the Tea Party (2012).
You don't want to go there, buddy. (CNN is a Wright-free zone; ABC, CBS, and NBC haven't mentioned the IRS scandal (scandal?! what scandal?!) in months.)
Even something so innocuous as the content of Obama's Harvard papers and his grades?
You don't want to go there, buddy. (Racism, racism, racism.)
And having the gall, generally, to question people such as Barack Obama and Eric Holder?
You don't want to go there, buddy. (Racism, racism, racism.)
But why should this surprise us?

What this attitude is, basically, is symbolic of the entire Alinsky stance and everything in his radicals book:
You don't want to go there, buddy.

Sunday, April 13, 2014

BBC to Commemorate the 70th Anniversary of D-Day


The 70th anniversary of the 1944 D-Day landings is to be marked by a series of programmes on BBC TV and radio, announces the British broadcaster.
The June 6 attack saw more than 156,000 Allied troops storm the beaches of France and marked the beginning of the end of World War II.

 … "We all owe so much to the brave servicemen and women who took part in the D-Day campaign," said Danny Cohen, director of BBC Television.

"It is a privilege to commemorate and mark this incredibly important anniversary with a range of programming across BBC TV, radio and online."
The story of D-Day.